ATELIER 1 | Communautés de pratiques – Développement direction

Table des matières

DÉVELOPPEMENT DIRECTION #

La COVID-19 est venue semer le désordre dans le quotidien des EÉSAD.
Il y a un tourbillon d’informations, d’où l’interrogation constante de la bonne information à prendre.
Une journée n’est pas suffisante pour prendre connaissance des nombreuses informations, car les directions générales éteignent constamment des feux.
Le sentiment de l’incompétence devant la pandémie.
Quant aux pistes de solutions, il y en a deux.
- Un souhait d’avoir une personne à temps plein pour gérer la crise ainsi que les informations reçues.
- Ayant reçu plusieurs directives différentes pour les milieux de vie, il faudrait avoir une meilleure communication ainsi qu’une meilleure sélection des informations à transmettre.

Les initiatives doivent venir du Conseil d’administration (CA).
Des réunions par comité devraient être tenues, où le personnel administratif des EÉSAD serait invité. Cela permettrait au personnel administratif d’avoir une vision stratégique.
Le CA devrait être également impliqué dans la gestion opérationnelle d’une EÉSAD, ce qui permettrait d’avoir de meilleures décisions. Cela permettrait d’éviter plusieurs rencontres séparées entre l’opérationnel et le stratégique ainsi qu’être plus efficace. Puis, il y aura un équilibre entre le CA et les opérations de l’EÉSAD.
La diversité au sein d’un CA apporte une valeur ajoutée, soit des expériences variées.
Bien que les relations entre la direction générale et son CA sont différentes d’une EÉSAD à une autre, elles doivent être évolutives et confiantes.

La préparation à l’interne est plus facile. Cela assurerait la continuité ainsi qu’une bonne organisation.
La main-d’oeuvre touche tout le monde, il faut être aussi sensible à l’externe.
La direction générale doit s’éloigner de la gestion constante des opérations.
Quant aux pistes de solutions, il y en a trois.
- Mise en place d’un système de « doublons » : Créer un fichier de connaissances, où chacun va devoir déposer ses documents. Ce qui permettrait à la nouvelle personne d’obtenir les informations nécessaires pour continuer le travail. C’est dans la logique d’avoir une trousse d’outils pour accompagner les nouveaux.
- Compter sur un support du Réseau de coopération des EÉSAD dans l’accompagnement des nouvelles embauches.
- Établir un système de mentorat entre les EÉSAD : Accompagnement des autres EÉSAD, soit par le partage de connaissances et d’expérience entre les EÉSAD.